New soul
Chapitre 2: What's Happen ?
La compassion n'est pas la pitier face à la soufrance. C'ets savoir que toute souffrance nous appartient aussi. Quand nous reconnaissons ce lien entre nous et les autres nous éprouvons un sentiment d'appartenance. Nous ne souffrons pas seul.
Je marche lentement dans les rues de New York, à cette heure matinale il y a déjà beaucoup de monde. Tout les monde est préssé, ils sont pour la plupart stréssés par leur journée qui va commencer, leurs visages sont fermées concentrés... Et moi dans la foule je me sens tellement seule, je me fais bousculer plusieurs fois. Les gens ne disent pardon, ne se retourne pas. Je ne me sens pas bien , je srute on visage dans la vitrine d'un grand magasin, j'ai une mine affreuse, le tein pale le corps squeletique. Je n'ai pas mangé depuis 48 heures, j'ai 40$ en poche juste assez pour me payer ma dose, mais ce matin je fais une exception je prend mon petit porte monaie et commande un café et un muffin au chocolat à un vendeur embulant. Le doux brevage réchauffe mon maigre corps, je coque goulument dansm on petit gateau. Je s'avoure ce moment puis je reprend mon chemin direction le Queens banlieux malfamée de New-York pour trouver Joe un dealer qui me fournit depuis un petit moment. Je prned le métro je sens des regards de désolation ce poser sur moi, je les iniores car je suis fatiguée de me battre sans cesse je sort de la rame à l'endroit habituel, je remonte les esclaiers tagués et me dirige vers un petit immeuble, dans l'entrée les boîtes aux lettres sont défoncées, des jeunes sont assis et me regarde:
" Alors Blondie on va chercher sa dose ?
- Comme chaque jour repondis-je d'un ton lasse "
Je continue ma route, frappe à la porte on me dit d'enter je force la porte et entre. J'arrive devant Joe qui est avachis dans son canapé et me dit:
" Salut Blondie ta dose est sur la table
- Merci Joe par contre je n'est pas le point j'ai que 37$
- C'est pas grave, je suis gentil aujourd'hui mais ne refais pas deux fois.
- T'inquiètes pas !
- Tu verras elle est extra, elle vient d'arriver du Mexique
- Merci ( je me saisit de la dope)
- On se revoit demain
- Comme d'habitude "
Je mis ma dope en lieu sure c'est a dire la poche interieure de ma veste. Je repart en courant avec le peu de force qu'il me reste et reprend le metro direction Madisson Avenue la bas j'entre dans un café et me dirige vers les toilettes. Enfin enfermée à l'interieur je sort de mon sac à dos, une trousse dedan il y a ma seringue, ma cuillère, mon briquet, un fond de désinfectant et du coton. Je passe la tête dans l'entrebaillement de la porte pour voir si il y a quelqu'un: la voie est libre je prend juste ma seringue, je me lave les mains pour éviter toute infection le manque commence à ce faire ressentir. Oui pour une junkie je suis assez propre... puis je passe ma seringue sous l'eau chaude. Après l'avoir lavée je retourne dans les toilettes et je la dépose sur mes genous, je prend ma dope dans ma poche et la verse dans la petite cuillère j'allume mon briquet et fait chauffer au bout d'un moment un liquide aparait je pose un bout de coton dessus, il absobe. Je prend ma seringue extrait le liquide du coton et je me l'injecte. Et c'est le bonheur qui commence... ma seringue tombe par terre et ca commence enfin...
Dans le trip:
J’ai passer une enfance joyeuse, du moins je ne me souvient que de peu de mauvaise chose s’étant dérouler durant mon enfance. C est pourquoi j’en garde une belle image. Trop belle peut être, au point d’en regretter d’être devenu adulte Cette perpétuelle pression et responsabilité que l’on a étant adulte , n’a nullement exister durant ma tendre jeunesse. Ma première dose fut pour la mort de ma mère à 14 ans.
Je peut dire que c’est vraisemblablement cette pression du monde moderne qui m’a pousser a expérimenter les drogues. A la base, j ai toujours cru que je ne consommait de drogue que pour l’expérimentation même, la découverte de nouveaux horizons, et c’était sûrement le cas, néanmoins, je n’aurait jamais cru que vienne le jour ou mon addiction, notamment a l’héroïne ferai partie intégrante de ma vie. Et ce jour est arrivé. Ce qui avait commencer par de simples expérimentations s’est rapidement transformer en un mode de vie. A présent je regrette le jour ou par curiosité j’en suis venu a consommer cette drogue. Une drogue a la fois enchanteresse et diabolique. Celle-ci transforme le monde que vous connaissez en un véritable paradis, sans douleurs ni malheurs. Toute votre vision de la vie change, et toutes ces pressions disparaissent soudainement. Mais le bonheur n’est pas gratuit. Son prix est a la fois financier et corporelle. L’héroïne vous prends sans que vous vous en rendiez compte tout ce a quoi vous tenez. Petit a petit, votre compte en banque se vide, vous cumuler les dettes. La seul solution est rayer définitivement cette drogue de votre vie. Malheureusement, le contrat que vous avez passé ne peut être annuler, et le diable vous tend la main. Durant quatre jours il restera a vos cotés, se faisant un plaisir de vous ouvrir les portes de l’enfer. Quatre jours d’horreur, quatre jours de souffrance corporelle et psychologique que peut de gens supportes.
Le mal-être est immense, sans que vous puissiez y faire quelque chose, a moins de retomber dans le cercle vicieux de la drogue.
Je n'est jamais pu arrêter mais le plus dure dans tout ca c'est que d'où ma mère me voit elle ne doit pas être fière de ce que je suis devenue. A mes 18 ans mon père dévasté par l'alcool me mis à la porte en découvrant ma trousse de piquouse comme je l'appelle . De la mort de ma mère à mes 18 ans ma vie était un enfer je me réfugiait dans la dope pour oublier...
Fin du trip.
J'ouvre un oeil puis deux je suis avachis sur la cuvette des wc je vien de réaliser que mon trip est finit. Je ramasse très fatiguée ma serringue et mon garrot tombé à terre. Je range mon " matériel". Je sort,passe mon visage sous l'eau froide histoire de me reveiller je regarde une nouvelle fois mon visage dans la glace... J'ai le tein encore plus pale. Malgrés l'eau froide que je m'asperge abondament je n'arrive pas me reveillée mes paupières sont lourdes.Je sort du café quelques personnes me questionne du visage encore une fois... Je ne me sent décidément pas bien je commence à avoir des nausées, l'air frais n'arrange rien je vomis dans le coin d'une petite ruelle. J'ai chaud puis j'ai froid tout ce qui est autour de moi tourne, les voix des passants me font mal à la tête tellement ils hurlent...
Je me met à courrir, je vomis une seconde fois, j'ai chaud mon coeur s'accélèrent encore et encore. Dans quelle m*rde je suis ! Dans un éclair de lucidité je repnce à Joe l'enfoiré il a du mettre quelque chose dans ma came c'ets pas possible... Avec sa voix dédaigneuse qui me desait " Tu reviens demain?"
Je continue à marcher, tant pis je décide de me rendre au premier hopital mes nausées augmentent et pouls accélèrent aussi. J'essaye de lire une carte je vois que l'hopital St George n'est pas trop loin dans l'angle de la rue Malvern. J'arrive difficilement dans l'hopital me dirige vers l'acceuil.
- Bonjour, je ne me sent pas bien il faut que je vois un médecin ( mes mains trembles )
- Bah il faudrat attendre me répondis sechement la veille femme
Je regarde la salle d'attente, elle est bondée
- J'ai pas le choix
Alors que je me dirige vers un fauteuil, je m'effondre sur le sol froid. Une infirmière accoure vers moi
- Mademoiselle guardez les yeux ouverts
Je n'y arrive pas Maman qu'est ce que j'ai...
- On la pert elle respire plus palettes
L'infirmière enlève la veste et le pull de Peyton et découvre son bras violet à cause des piqures
- Bippez Lucas, Lucas Scott elle fait une overdose
Merci à toutes celles qui ont mis un commentaire